Alléluia Dieu est bon
Soyons dans la joie.
Alléluia Dieu est grand
Soyons dans la paix.
Alléluia Dieu, Père tout puissant,
Merci d’être tes enfants.
Tu nous as donné ton fils Jésus-Christ. Merci !
Tu as permis qu’il soit livré à la mort
Et qu’il nous ouvre ainsi
le chemin de la vraie vie. Merci !
Tu nous envoies ton Esprit. Merci !
Alléluia, Christ est vivant !
Il est vraiment ressuscité !
La Transfiguration révèle la divinité de Jésus et la voix venue du ciel affirme aux disciples qu’il est le Fils de Dieu.
La foi d’Abraham peut aller jusqu’à offrir son propre fils en sacrifice
et saint Paul affirme que Dieu nous donne tout.
En réponse à une telle générosité, nous sommes appelés à vivre en fils et filles de Dieu et à renouveler notre fidélité au Seigneur.
”Souviens- toi que tu es poussière” : revivre le geste créateur de Dieu.
“Dès lors, cette parole que nous entendrons, loin de nous faire méditer sur la mort, est bien davantage un appel à revivre le mystère de notre création, ce mystère où nous sommes nés du geste de Dieu.
Cette parole est une invitation à retourner à l’argile, non pour disparaître, mais pour nous remettre entre les mains de notre Créateur : il a modelé le premier homme et sans cesse nous modèle pour que nous apprenions à devenir semblables à Jésus, le nouvel Adam. A l’écoute de cette parole nous pourrons renaître tout au long du carême qui nous conduira jusqu’à la fête de Pâques.
Le signe des cendres est une belle occasion de méditer sur cette profondeur de sens inscrite dans ce qui fait notre condition humaine jusque dans notre corps, dans notre chair ; une chair mortelle, mais promise à la résurrection !”
Mgr Emmanuel Delmas.
L’adoration est un acte volontaire : vous pouvez adorer Dieu quand vous le pouvez et où vous le voulez. Faut-il encore savoir bien le faire…
Pour adorer Dieu, il suffit de lui dire ces mots simples : « Seigneur, je me tiens en ta présence et je reconnais que tu es le premier dans ma vie. Tu es mon Dieu, mon créateur, mon Père, et je me remets entre tes mains. Prends ma vie et tout ce qui m’appartient, car je t’aime et je veux n’appartenir qu’à toi ».
Cet acte peut durer ainsi une minute, un peu moins ou beaucoup plus selon les circonstances.
Nous avons tendance à oublier que Dieu est partout, et non uniquement dans l’église sous la forme du Saint-Sacrement. Il est constamment à nos côtés et nous couvre de sa bonté et de sa miséricorde. Ayant cela à l’esprit, nous pouvons L’adorer n’importe où, en prenant conscience de sa présence aimante.